Revue de réflexion politique et religieuse.

Archives classées par auteurs

Le Dane­mark, modèle de sou­mis­sion volon­taire par Monica Papazu

Entre­tien. La crise sani­taire per­met de consta­ter que le confor­misme est encore plus géné­ral dans les socié­tés dites libé­rales que dans les régimes tota­li­taires. Une illus­tra­tion à par­tir de l’exemple du Dane­mark, où la sou­mis­sion volon­taire à l’état d’exception s’est avé­rée par­ti­cu­liè­re­ment spon­ta­née.

Rubrique(s) : Numéro 154

Notre-Dame : le buis­son ardent par Monica Papazu

Témoi­gnage sur un évé­ne­ment majeur et pro­phé­tique. L’auteur de la contri­bu­tion qui suit, Moni­ca Papa­zu, auteur d’origine rou­maine vivant au Dane­mark, déjà connue des lec­teurs de la revue, exprime sa réac­tion per­son­nelle à l’événement que fut l’incendie de la cathé­drale de Paris en avril der­nier. Nous l’en remer­cions vive­ment.  

Rubrique(s) : Numéro 145

L’art et l’é­clipse de l’es­prit par Monica Papazu

Une lec­ture appro­fon­die de Qu’est-ce que la beau­té ? de Jean Brun et Boris Lejeune

Rubrique(s) : Numéro 128

Aux sources de l’antihumanisme moderne par Monica Papazu

A pro­pos du livre de Jean Brun, Le Mal sui­vi de Sombres « Lumières », pré­face de Moni­ca Papa­zu, Artège, Per­pi­gnan, 2013, 192 p., 15,90 €.

Rubrique(s) : Numéro 123

La repen­tance sans le Christ par Monica Papazu

On ne défend que ce que l’on aime. La démo­ni­sa­tion du pas­sé est malé­fique en ce qu’elle sape la volon­té de vivre. La crise actuelle est une dépres­sion impo­sée par la pen­sée domi­nante : inven­tion d’un pas­sé fac­tice qui tient le malade pri­son­nier, déni du réel, perte du sens de la vie, déva­lo­ri­sa­tion de la per­son­na­li­té. L’attitude par­ri­cide envers le pas­sé s’avère sui­ci­daire.

Rubrique(s) : Numéro 115

L’invivable moder­ni­té par Monica Papazu

La régres­sion anthro­po­lo­gique post­mo­derne, telle que la fait res­sor­tir l’écrivain rou­main Horia-Roman Pata­pie­vi­ci.

Rubrique(s) : Numéro 105

L’héritage des déshé­ri­tés par Monica Papazu

« Le vrai pro­cès du com­mu­nisme ne se limite pas à un pro­cès du pou­voir com­mu­niste avec son idéo­lo­gie et ses acteurs cri­mi­nels, il est aus­si le pro­cès de la moder­ni­té avec, entre autres, l’acception pure­ment posi­ti­viste du droit où la loi équi­vaut tout sim­ple­ment à ce qui est écrit. »

Rubrique(s) : Numéro 103