La « synodalité » est présentée comme la solution à la crise que traverse l’Église. Au-delà du paradoxe d’une Église qui semble n’avoir jamais été aussi autoréférentielle, on peut se demander
si cette réflexion n’est pas un moyen d’éviter de faire un vrai bilan sur les choix ayant causé ou accéléré cette crise.