« De “qui suis-je pour juger” à “qui suis-je pour parler”, le pas a été vite franchi. Nous sommes confrontés au fait que la majorité des évêques, en ce moment dramatique, ne parlent pas, n’interviennent pas. »
« De “qui suis-je pour juger” à “qui suis-je pour parler”, le pas a été vite franchi. Nous sommes confrontés au fait que la majorité des évêques, en ce moment dramatique, ne parlent pas, n’interviennent pas. »