Les vingt et une contributions à cet ouvrage collectif permettent soit de rappeler des données qui ont tendance à être oubliées (un tableau d’E. Fouilloux sur la période 1962–69), ou mal connues (l’origine de la CTI, la constitution des réseaux : C. Valasik, Y. Tranvouez), soit d’aborder quelques domaines importants par leurs enjeux (la missiologie en crise, les rapports entre théologie et sciences humaines, entre autres). Un tableau historique intéressant, malgré une inévitable impression d’approche parcellaire et un manque trop fréquent d’approfondissement doctrinal.