Revue de réflexion politique et religieuse.

Le sui­cide, les jeunes et l’avenir

Article publié le 4 Oct 2009 | imprimer imprimer  | Version PDF | Partager :  Partager sur Facebook Partager sur Linkedin Partager sur Google+

Le rai­son­ne­ment que l’on fait aujourd’hui est ter­ri­ble­ment simple : si dans les décla­ra­tions des droits la liber­té per­son­nelle est consi­dé­rée comme invio­lable, le sui­cide ne peut qu’être une mani­fes­ta­tion certes extrême mais néan­moins très haute de la liber­té. Et, comme l’ont mon­tré les déve­lop­pe­ments récents autour d’un pré­ten­du droit au sui­cide assis­té (eutha­na­sie), il pour­rait car­ré­ment être pro­té­gé par la loi. Ain­si, une mala­die serait rame­née au rang de « saine » déviance. « Si quelqu’un ne veut pas vivre, quelque part, c’est son affaire ».

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