Sans rompre avec l’historiographie républicaine, l’auteur, entre autres ancien directeur scientifique du Mémorial de Caen, détaille les facteurs de la défaite de 1940, qu’il explique par la succession des fautes commises par tous les gouvernements depuis la fin de la Grande Guerre. « Il est tout de même paradoxal qu’à notre époque de repentance tous azimuts […] la recherche des responsabilités de la plus grande défaite de notre Histoire ne trouve guère preneur dans la gent historienne ».