Présentation synthétique de l’AC comme accomplissement de l’avant-gardisme issu de la crise des arts plastiques de la fin du XIXe siècle. L’auteur, professeur de droit à Paris II, fait le lien avec les courants philosophiques (issus du romantisme allemand) et pseudo-religieux (occultistes, etc.), « croyances ayant servi à légitimer la dérobade des peintres devant le réel » et la régression de l’art en général au XXe siècle.